Ed. Pocket 2014. Pages 664.
Titre Original: Company of Liars.
Résumé: 1348. La peste s'abat sur l'Angleterre. Rites païens, sacrifices rituels
et religieux : tous les moyens sont bons pour tenter de conjurer le
sort. Dans le pays, en proie à la panique et à l'anarchie, un petit
groupe de neuf parias réunis par le plus grand des hasards essaie de
gagner le Nord, afin d'échapper à la contagion. Neuf laissés-pour-compte
qui fuient la peste mais aussi un passé trouble. Bientôt, l'un d'eux
est retrouvé pendu, puis un autre noyé, un troisième démembré...
Seraient-ils la proie d'un tueur plus impitoyable encore que l'épidémie ?
Et si celui-ci se trouvait parmi eux ? Toutes les apparences ne vont
pas tarder à s'avérer trompeuses et, avec la mort qui rôde de toutes
parts, les survivants devront faire preuve d'une incroyable sagacité, au
milieu des secrets et des mensonges, pour trouver le mobile des
meurtres et résoudre l'énigme avant qu'il ne soit trop tard...
La 7 de la page 7: "Je vends de la foi en bouteille: de l'eau du Jourdain prélevée à l'endroit même où la colombe est descendue, les os des innocents massacrés à Bethlehem, et les éclats des lampes portées par les vierges sages."
"La Compagnie des Menteurs" a été "élu thriller historique par le New York Times" annonce fièrement la couverture. En toute honnêteté, on ne comprend vraiment pas pourquoi.
Si la plume est agréable à lire, les longueurs interminables de l'histoire auront vite fait de fatiguer le plus courageux des lecteurs.
Et c'est justement ce qui est dommage dans ce livre. Car tout y était pour qu'on apprécie ce roman. Malheureusement, les passages interminables gâchent la lecture. Ce qui nous a empêché de réellement entrer dans l'histoire et de s'investir dans les personnages.
Vraiment dommage et on ne rééditera pas l'expérience.
Extrait: "Nous devons tous gagner notre vie, dans ce monde et il y a autant de manières de le faire qu'il y a de gens."