mercredi 23 novembre 2016

"Le Trône de fer : La Bataille des Rois" (tome 3) de George R.R. Martin

"Le Trône de fer: La Bataille des Rois" (tome 3) de George R.R. Martin. 
Ed. J'ai Lu 2009. Pages 416. 
Titre Original: "A Clash of Kings" 

Résumé: Le roi Robert Baratheon est mort, son ami Eddard Stark a été exécuté. La dynastie Baratheon n'aura duré qu'une génération et la paix plusieurs fois centenaire qui régissait le royaume des sept couronnes a volé en éclats.
Joffrey, le bâtard illégitime, se terre dans sa capitale, les frères de robert rallient des troupes â leurs bannières, le fils de Ned a levé son armée et crie vengeance, des pirates razzient les côtes et des brigands pillent les campagnes.
Il y a quatre rois désormais et chacun forge des alliances pour entraîner le royaume dans la tourmente de la guerre. Maintenant c'est l'acier qui va hurler son chant de mort.

La 7 de la page 7: "Dans la mer, reprit le fou; la neige s'élève et la pluie est sèche comme l'os." 

On continue notre aventure "Trône de Fer" avec ce troisième tome, "La Bataille des Rois". J'ai moins accroché à ce troisième tome qu'au deux premiers. Cela ne veut pas, pour autant, dire que je n'ai pas aimé ce volume. Disons que ce troisième tome m'a paru être un tome de transition plus qu'autre chose. Comprenez qu'il n'y s'y passe pas grand chose, chacun bouge ses pions et de ce fait, la stratégie surpasse l'action. Martin met en place l'action à suivre dans les tomes prochains. Seul Tyrion semble évoluer dans cet épisode. On sent bien que le nain Lannister nous prépare un coup grandiose, ayant pour seul maître sa propre personne. L'écriture est toujours aussi efficace et la plume nous emmène toujours un peu plus loin dans son oeuvre. En continuant de nourrir notre envie de continuer avec ses splendides personnages et son histoire exigeante, Martin lance sa saga dans l'imagination de ses lecteurs. Vivement la suite. 
Le préféré: Tyrion Lannister. 
Le plus détesté: Littlefinger. 

Extrait: "Une sottise, soupira Tyrion. Quand vous arrachez la langue d'un homme, vous ne prouvez pas qu'il est un menteur, vous avertissez seulement le monde que vous redoutez ce qu'il proférait." 

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