Ed. France Loisirs 2006. Pages 474.
Titre Original: "Chinese Whispers"
Résumé: " Qian ouvrit le tiroir supérieur de son bureau et en sortit une chemise A4 en plastique.
A l'intérieur était glissée une feuille dépliée. Il la remit à Li, puis se retira près de la fenêtre pour respirer un peu d'air frais. Li reconnut les caractères peu soignés, à l'encre rouge : Je vous envoie la moitié du rein que j'ai pris sur une femme. Conservé pour vous. L'autre morceau, je l'ai frit et mangé. " L'inspecteur Li Yan sait qu'il a en face de lui un redoutable adversaire. Celui qui se surnomme " l'éventreur de Pékin " a déjà exécuté plusieurs victimes chinoises, les laissant affreusement mutilées : la gorge coupée, le visage tailladé, les organes vitaux extraits et placés dans ce qui s'avère être une mise en scène extrêmement réfléchie.
Tout va se précipiter lorsqu'une scientifique américaine se livrant à des expériences sur un nouveau procédé de détection du mensonge est assassinée à son tour. Li découvre alors que le meurtrier lui en veut personnellement et cherche à le détruire. La situation devient vite infernale aussi bien pour lui que pour sa compagne, le docteur Margaret Campbell.
A l'intérieur était glissée une feuille dépliée. Il la remit à Li, puis se retira près de la fenêtre pour respirer un peu d'air frais. Li reconnut les caractères peu soignés, à l'encre rouge : Je vous envoie la moitié du rein que j'ai pris sur une femme. Conservé pour vous. L'autre morceau, je l'ai frit et mangé. " L'inspecteur Li Yan sait qu'il a en face de lui un redoutable adversaire. Celui qui se surnomme " l'éventreur de Pékin " a déjà exécuté plusieurs victimes chinoises, les laissant affreusement mutilées : la gorge coupée, le visage tailladé, les organes vitaux extraits et placés dans ce qui s'avère être une mise en scène extrêmement réfléchie.
Tout va se précipiter lorsqu'une scientifique américaine se livrant à des expériences sur un nouveau procédé de détection du mensonge est assassinée à son tour. Li découvre alors que le meurtrier lui en veut personnellement et cherche à le détruire. La situation devient vite infernale aussi bien pour lui que pour sa compagne, le docteur Margaret Campbell.
La 7 de la page 7: "Elle n'avait pas de véritables revenus personnels en dehors de l'argent que lui rapportaient les quelques conférences données à l'université de la Sécurité publique."
En ouvrant "L'Eventreur de Pékin", je ne savais pas trop à quoi m'attendre et au final, heureusement que je ne m'attendais pas trop. En gros, c'est l'histoire de Jack L'Eventreur mais en Chine. Pas de surprise donc si on connaît l'histoire du tueur en série anglais. Pas d'enthousiasme non plus. Le récit est truffé de références et on se demande comment les inspecteurs peuvent encore être surpris de leur enquête. Le lecteur se doute de ce qui va suivre et soupire parfois de la lenteur de ces inspecteurs qui restent en première tout le long du roman. On se doute d'où May veut nous emmener et c'est bien dommage. Ce livre est beaucoup trop prévisible pour qu'on y prenne vraiment plaisir. Ce qui "sauve" partiellement ce roman est sans doute l'immersion dans la culture chinoise. Mais c'est vraiment pour mettre en avant un point positif du roman. Pas d'explosion. Pas de rebondissement. Une écriture un peu froide et une fin qui laisse vraiment à désirer. Une grosse déception.
Extrait: "Détectant quelque chose dans sa voix, elle lui lança un rapide coup d’œil, mais ne dit rien. Elle savait que s'il voulait parler, il le ferait. Elle cassa un œuf sur la crêpe, l'étala, et le saupoudra de graines avant de badigeonner le tout de sauces épicées appétissantes. Elle avait les doigts rougis et irrités par le froid."
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