“La Prime” de Janet Evanovich
Ed. Pocket 2013. Pages 319.
Titre original: “One for the money”
Résumé: Adieu froufrous, adieu dentelles.
La lingerie, c'est fini. Stéphanie Plum, trente ans, n'a plus de boulot. Sa télé est au clou, son frigo est vide et elle se désespère. Heureusement, il y a son cousin Vinnie ! Il dirige une agence de cautionnement et cherche un chasseur de primes... Elle décroche le job et se retrouve sur les traces de Joe Morelli, un flic accusé de meurtre. Un malin, un dur, un séducteur... D'ailleurs, ce ne serait pas le même Joe Morelli qui l'a séduite et abandonnée lorsqu'elle avait seize ans ? Une raison de plus pour le retrouver ! " Stépahnie Plum a de l'humour, de la spontanéité, du bagou, de la rancune.Du charme, quoi !
La lingerie, c'est fini. Stéphanie Plum, trente ans, n'a plus de boulot. Sa télé est au clou, son frigo est vide et elle se désespère. Heureusement, il y a son cousin Vinnie ! Il dirige une agence de cautionnement et cherche un chasseur de primes... Elle décroche le job et se retrouve sur les traces de Joe Morelli, un flic accusé de meurtre. Un malin, un dur, un séducteur... D'ailleurs, ce ne serait pas le même Joe Morelli qui l'a séduite et abandonnée lorsqu'elle avait seize ans ? Une raison de plus pour le retrouver ! " Stépahnie Plum a de l'humour, de la spontanéité, du bagou, de la rancune.Du charme, quoi !
La 7 de la page 7: “Cinq minutes
plus tard, je quittai Hamilton Avenue pour m’engager dans Roosevelt Street.”
Stéphanie Plum n’a rien d’une
chasseuse de prime. Non vraiment rien. Et c’est de cet élément somme toute
assez basique qu’est basé tout le roman de Evanovich. Certes cela ne donne pas
une littérature de haut-vol et c’est justement pour cela que j’ai bien aimé ce
roman. Pas de prise de tête. Pas de prétention. Un bon petit roman bien léger
qui permet de se vider la tête.
Et vraiment, en ce moment, c’est
tout ce dont on a besoin. Un petit roman sans prétention à lire tranquillement
sous une couette bien chaude pendant que la pluie tombe sur les vitres.
Extrait: “Je coinçai les dossiers sous mon bras, promettant à Connie d’en faire
des photocopies et de lui rendre les originaux. L’anecdote de la barquette de
poulet était particulièrement encourageante. Si Andy Zabotsky pouvait choper un
voyou devant un stand de sandwiches, imaginez mon potentiel. Je bouffais tout
le temps ce genre de merdes. Je trouvais même ça bon. Peut-être que ce boulot
de chasseuse de primes allait marcher.”
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