“Dans l’angle mort” de Chris
Bohjalian
Ed. France Loisirs 2009. Pages 446.
Titre Original: “The Double Blind”
Résumé: Etudiante, Laurel est
agressée par deux hommes lors d'une balade à vélo.
Des années plus tard, à la mort de Bobby, un sans-abri fréquentant le refuge dans lequel elle travaille, Laurel est chargée de trier ses maigres possessions. Elle découvre alors un véritable trésor : des photos de célébrités mais également parmi elles la photo d'une jeune fille à vélo, sur une route sombre du Vermont...
Tandis que sa fascination pour l'ancienne vie de Bobby - qui selon elle recèle un obscur secret de famille - se mue lentement en obsession, Laurel se lance dans un jeu du chat et de la souris où menace d'éclater sa propre vérité...
Des années plus tard, à la mort de Bobby, un sans-abri fréquentant le refuge dans lequel elle travaille, Laurel est chargée de trier ses maigres possessions. Elle découvre alors un véritable trésor : des photos de célébrités mais également parmi elles la photo d'une jeune fille à vélo, sur une route sombre du Vermont...
Tandis que sa fascination pour l'ancienne vie de Bobby - qui selon elle recèle un obscur secret de famille - se mue lentement en obsession, Laurel se lance dans un jeu du chat et de la souris où menace d'éclater sa propre vérité...
La 7 de la
page 7: “Non, un cordial français à la place.”
La très
grande force de “Dans l’angle mort”, outre un style bien maîtrisé, réside dans
son intrigue intelligente et originale. On se laisse emporter par l’intrigue et
on est scotché à la fin. L’histoire est bien construite et ficelée d’une main
de maître. Si, au départ, je ne m’attendais pas à un aussi bon roman policier,
je dois avouer qu’il m’a surpris. Et à bien des égards. Ce serait criminel de
ma part de vous révéler pourquoi… Mention spéciale à une fin en forme de claque
dans le visage.
Une vraie
bonne surprise qui donne envie de découvrir davantage l’auteur.
Extrait: “Sur un autre cliché d’une sensiblité radicalement
différente, Laurel découvrit un sentier du Vermont qu’elle reconnut aussitôt.
Au loin, une jeune fille faisait du VTT. Short en lycra noir. Maillot coloré
orné d’un destin à peine visible mais qui aurait très bien pu être une
bouteille. La scène se déroulait peut-être à huit cents mètres de l’endroit où
elle avait été agressée et, le coeur palpitant, Laurel se retrouva cataputée
sur son chemin de croix, face aux deux brutes marquées et tatouées qui avaient
voulu la violer.
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