Ed. Pocket 2012. Pages 531.
Titre original: "The Crucifix Killer"
Résumé: Dans les bois de L.A., une jeune femme est retrouvée sauvagement
assassinée. Sans visage. Sa peau a été arrachée alors qu'elle était
encore en vie. Taillée sur sa nuque, une marque que le détective Rob
Hunter ne connaît que trop bien : un double crucifix…
Et pourtant, Hunter croyait avoir arrêté le Tueur au crucifix deux ans plus tôt. S'agit-il d'un imitateur ? Mais comment celui-ci aurait-il eu accès à ce détail de l'enquête jamais rendu public ? Ou alors il faut admettre le pire : le vrai coupable court toujours.
C'est le début d'une traque de tous les dangers qui va conduire Hunter des clubs branchés du Strip Boulevard aux planques isolées du Griffith Park en passant par les villas de Malibu et les bas-fonds de Pasadena.
Les rouages d'une implacable machine à suspense sont en marche dans ce thriller au rythme effréné qui nous plonge au cœur de la jungle urbaine de la Cité des Anges
Et pourtant, Hunter croyait avoir arrêté le Tueur au crucifix deux ans plus tôt. S'agit-il d'un imitateur ? Mais comment celui-ci aurait-il eu accès à ce détail de l'enquête jamais rendu public ? Ou alors il faut admettre le pire : le vrai coupable court toujours.
C'est le début d'une traque de tous les dangers qui va conduire Hunter des clubs branchés du Strip Boulevard aux planques isolées du Griffith Park en passant par les villas de Malibu et les bas-fonds de Pasadena.
Les rouages d'une implacable machine à suspense sont en marche dans ce thriller au rythme effréné qui nous plonge au cœur de la jungle urbaine de la Cité des Anges
La 7 de la page 7: "Son teint, légèrement hâlé était des pieds à la tête absolument impeccable."
"La Marque du tueur" est un thriller assez efficace sans pour autant être le thriller de l'année. Mais malgré tout, un bon roman. L'intrigue est bonne sans pour autant être époustouflante. Les personnages sont bien écrits sans pour autant révolutionner le genre. Un thriller avec un tueur et des personnes qui le cherchent. Assez basique si on ne voit ce roman que comme cela. Personnellement, ce que j'y ai vu, c'est un gros potentiel de l'auteur. "La Marque du tueur" nous donne surtout envie de lire un autre roman de cet auteur qui, on le sent, a sans doute écrit cette intrigue avec le frein à main activé. Il peut donner tellement plus à ses lecteurs, cela se sent dans son rythme et dans sa manière de relever le niveau de son intrigue quand l'histoire le demande. On passe un bon moment en sa compagnie et si "La Marque du tueur" ne laisse pas un sentiment impérissable, on en redemande. On veut voir jusqu'où Carter sera capable de nous emmener la prochaine fois.
Extrait: "Pour commencer, l'immense majorité des tueurs en série sont des hommes,
expliqua Hunter. Les tueuses en série ont en général un intérêt purement
matériel ou financier. Ce qui peut arriver aussi avec leurs homologues
masculins mais beaucoup plus rarement. Les mobiles d'ordre sexuel sont
les plus fréquents chez eux. Les études ont aussi révélé que les femmes
criminelles tuent en général des proches, maris, membres de la famille
ou personnes qui dépendent d'elles. Pour les hommes, ce sont en général
des étrangers. Les tueuses en série ont aussi tendance à agir plus
discrètement, avec du poison ou des méthodes moins violentes, comme
l'étouffement. Les tueurs en série, au contraire, sont très portés sur
les tortures et les mutilations. Quand les femmes sont impliquées dans
des homicides sadiques, elles jouent en général le second rôle aux côtés
d'un homme."
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