“Autres chroniques de
San Fransisco” de Armistead Maupin.
Ed. 10/18 2012. Pages 382.
Ed. 10/18 2012. Pages 382.
Titre original:
“Further Tales of the City”
Résumé: Voici le troisième épisode des Chroniques de San Francisco, un
feuilleton romanesque à l'humour décapant !
"Entre un ouvrier au grand coeur, une star de cinéma et son médecin favori - Jon Fielding, pour ne pas changer - Michael court toujours après l'homme de sa vie, Mary Ann, entrée à la télévision, court après le scoop de la sienne. DeDe revient de loin et Mme Madrigal cultive les petites herbes dans son jardinet... Ajoutez à cela quelques kidnappings, une course-poursuite entre l'Alaska et Barbary Lane, et vous aurez une idée de ce pétillant roman d'où on ressort tout étourdi, un sourire bêta scotché sur les lèvres..
"Entre un ouvrier au grand coeur, une star de cinéma et son médecin favori - Jon Fielding, pour ne pas changer - Michael court toujours après l'homme de sa vie, Mary Ann, entrée à la télévision, court après le scoop de la sienne. DeDe revient de loin et Mme Madrigal cultive les petites herbes dans son jardinet... Ajoutez à cela quelques kidnappings, une course-poursuite entre l'Alaska et Barbary Lane, et vous aurez une idée de ce pétillant roman d'où on ressort tout étourdi, un sourire bêta scotché sur les lèvres..
La 7 de la page 7: “Mais certains décorateurs
se prennent pour lui, non?”
Troisième volet de la
saga des chroniques de San Fransisco. Premièrement, force est de constater que
ce tome est légèrement en-dessous des deux premiers. L’histoire, toujours
originale, est quelque peu plus faible que les deux précédentes. Mais cela
reste un véritable plaisir de suivre les aventures de ces personnages tellement
humains et tellement vrais. On souhaiterait pouvoir s’enfoncer dans les pages
afin de se retrouver à San Fransisco en compagnie de ces personnages qui sont
devenus, au fur et à mesure, un peu les nôtres.
Extrait: “Cela faisait maintenant
presque trois ans que Michael Toliver était le gérant d'une jardinerie du
Richmond District qui s'appelait Les Verts Pâturages. Le propriétaire de cette
entreprise était le meilleur ami de Michel, Ned Lockwood, un type de
quarante-deux ans tout en muscles qui était presque archétype du "pédé
Grands-Espaces".
L'expression "pédé Grands-Espaces", dans la jargon personnel de Michael, s'appliquait à tous ceux qui s'occupent d'une manière virile des belles choses de la nature: pépiniéristes, jardiniers, forestiers, bûcherons - et quelques paysagistes. (Les fleuristes, évidement, étaient exclus de cette catégorie.)”
L'expression "pédé Grands-Espaces", dans la jargon personnel de Michael, s'appliquait à tous ceux qui s'occupent d'une manière virile des belles choses de la nature: pépiniéristes, jardiniers, forestiers, bûcherons - et quelques paysagistes. (Les fleuristes, évidement, étaient exclus de cette catégorie.)”
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire