“Trauma: Les visages
de Victoria Bergman 2” de Erik Axl Sund.
Ed. Babel Noir 2015.
Pages 473.
Titre Original:
“Hungerelden”
Résumé: Un important homme d’affaires est retrouvé sauvagement assassiné
dans son appartement de Stockholm. Son corps a été dépecé et la scène du crime
peinte au rouleau avec son sang. Plus tard, une femme de la haute société est
découverte dans un souterrain, une corde de piano autour du cou. Le fils d’un
haut fonctionnaire trouve quant à lui la mort dans une piscine municipale de la
capitale. Seul lien apparent : un bouquet de tulipes jaunes laissé sur les
lieux des crimes. La commissaire Jeanette Kihlberg est chargée de l’enquête.
Toujours hantée par la mystérieuse Victoria Bergman, elle continue
simultanément ses recherches dans l’affaire classée de jeunes sans-papiers
assassinés et fait appel à la psychothérapeute Sofia Zetterlund pour établir un
profil du meurtrier. De son côté, Sofia continue son autothérapie pour tenter
de reprendre le contrôle d’elle-même mais ses absences ne font que
s’intensifier. Pendant ce temps, Victoria Bergman mène sans relâche sa croisade
contre les faibles... Avec ce roman d’une noirceur vertigineuse, Erik Axl Sund
poursuit sa plongée dans les tréfonds du psychisme humain et offre une suite
électrisante à Persona.
La 7 de la page 7:
“Schwarz recule, la queue entre les jambes, et à ses côtés Alhund n’en mène pas large.”
Le premier tome de
cette trilogie s’était terminé sur une fin un peu décevante. J’espérais donc
que le deuxième tome relève un peu le niveau. Malheureusement, la suite est
tout aussi décevante. Les personnages principaux devient de plus en plus
complexes. Trop complexes. J’ai eu du mal à m’intéresser à leur sort et à leurs
péripéties. Peut-être que le troisième tome sera celui qui finira en apothéose.
Mais pour cela, vous devrez le lire sans moi. Ce tome, trop brouillon et trop
compliqué à suivre, a eu raison de moi. Pas de tome 3 en ce qui me concerne.
Extrait:”Stockholm peut être un endroit affreux.
L’hiver impitoyable souffle un vent hostile, le froid pénètre partout, il est
presque impossible de s’en protéger. La moitié de l’année, il fait nuit quand
les habitants de la ville se réveillent, et nuit quand ils rentrent chez eux le
soir. Des mois durant, les gens vivent dans un manque de lumière compact,
étouffant, dans l’attente de la délivrance amère. Ils se referment dans leur
sphère privée, évitent de croiser inutilement le regard de leurs semblables et
repoussent tout ce qui pourrait les déranger à l’aide de leurs Ipod, lecteurs
MP3 et téléphones portables.”
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