Ed. Points 2011. Pages 520.
Titre Original: "The Scarecrow"
Résumé: Viré du L.A. Times, le journaliste Jack McEvoy hésite entre le dégoût et
la rage. Mais c’est la fierté qui finalement l’emporte : dans les
quinze jours qu’il lui reste, il compte mener une enquête qui lui vaudra
? excusez du peu - le prix Pulitzer. Et les pontes de la direction
n’auront plus que leurs yeux pour pleurer.
Son temps est compté, et a priori l’histoire d’Alonzo Winslow, un dealer meurtrier de 16 ans, n’a rien de prometteur : le gamin a avoué. Mais dans des conditions pour le moins douteuses…
Embarqué dans une aventure qui le dépasse, convaincu que la police a triché, Jack lance un S.O.S. à Rachel Walling, l’agent du FBI qu’il aime depuis toujours. Sans se douter que dans le même mouvement, il enclenche le piège machiavélique tendu par un tueur d’une intelligence et d’une cruauté ahurissantes.
Son temps est compté, et a priori l’histoire d’Alonzo Winslow, un dealer meurtrier de 16 ans, n’a rien de prometteur : le gamin a avoué. Mais dans des conditions pour le moins douteuses…
Embarqué dans une aventure qui le dépasse, convaincu que la police a triché, Jack lance un S.O.S. à Rachel Walling, l’agent du FBI qu’il aime depuis toujours. Sans se douter que dans le même mouvement, il enclenche le piège machiavélique tendu par un tueur d’une intelligence et d’une cruauté ahurissantes.
La 7 de la page 7: "Ce n'était pas mon genre."
Je reconnais que je ne suis pas une grande adepte des thrillers où on connaît déjà presque tout de la personne recherchée par le héro principal. Pourtant, ici, cela ne m'a absolument pas dérangée tant l'histoire est prenante et la plume efficace.
Deuxième volet des aventures de Jack McEvoy qu'on avait déjà croisé dans "Le Poète".
"L'épouvantail" est efficace et cohérent avec ce qu'on connaît déjà du personnage. Encore un très bon moment passé en compagnie de Connelly.
Extrait: "Tout le monde me suivit des yeux lorsque je quittai le bureau de Kramer et retournai à mon box dans la salle de rédaction. Les regards étaient si appuyés que le trajet me parut interminable. Les avis de licenciement sortaient toujours le vendredi et tout le monde savait que je venais d'avoir l'entretien."
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