"Ténèbres, Prenez-moi la main" de Dennis Lehane.
Ed. Rivages/Noir 2002. Pages 489.
Deuxième volet de la sage Kenzie/Gennaro. On reste dans un Boston très sombre. On y ajoute quelques psychopathes de plus. Une histoire en béton. La relation kenzie/Gennaro est de plus en plus ambigüe. On ne sait plus très bien où ils en sont (est-ce qu'eux-mêmes le savent?)
Ed. Rivages/Noir 2002. Pages 489.
Titre original: Darkness, take my hand
Résumé: Une nuit, la psychiatre Diandra Warren reçoit un appel anonyme et
menaçant qu’elle croit lié à l’une de ses patientes. Quand arrive au
courrier une photo de son fils Jason sans aucune mention d’expéditeur,
elle prend peur et demande de l’aide à Patrick Kenzie et Angela Gennaro.
C’est pour les deux détectives le début d’une affaire bouleversante qui
va les confronter à l’inacceptable, jusqu’à l’imprévisible dénouement.
La peur, la compassion, la répulsion, l’amour, toutes ces émotions sont
remarquablement mises en scène par Dennis Lehane dans un livre qu’on ne
lâche pas avant la dernière page et dont les échos résonnent bien après
qu’on l’a refermé.
La 7 de la page 7: "ce qui compte, avait-il écrit, c'est la souffrance."
Deuxième volet de la sage Kenzie/Gennaro. On reste dans un Boston très sombre. On y ajoute quelques psychopathes de plus. Une histoire en béton. La relation kenzie/Gennaro est de plus en plus ambigüe. On ne sait plus très bien où ils en sont (est-ce qu'eux-mêmes le savent?)
Pas de déception pour la suite de leurs aventures. A lire sans aucune modération. On attend la suite avec impatience!
Extrait: "Quand j'étais gosse, mon père m'a emmené un jour sur un toit d'un immeuble qui venait de brûler. Il me faisait visiter la caserne lorsque l'alerte avait été donnée, et du coup, je m'étais retrouvé à côté de lui dans la cabine du camion, tout excité de sentir l'arrière du véhicule chasser dans les virages, tandis que les sirènes hurlaient et que la fumée jaillissait devant nous en gros nuages bleus, noirs, épais."
Extrait: "Quand j'étais gosse, mon père m'a emmené un jour sur un toit d'un immeuble qui venait de brûler. Il me faisait visiter la caserne lorsque l'alerte avait été donnée, et du coup, je m'étais retrouvé à côté de lui dans la cabine du camion, tout excité de sentir l'arrière du véhicule chasser dans les virages, tandis que les sirènes hurlaient et que la fumée jaillissait devant nous en gros nuages bleus, noirs, épais."
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