Ed. Folio 2009. Pages 130.
Résumé: Dans les brumes ardennaises, Franz Bartelt décortique les petits travers
de ses contemporains avec un humour et une férocité jubilatoires.
La 7 de la page 7: "Parce qu'on les voit de loin et de n'importe quel point de ces paysages dont la circularité n'est bornée que par l'horizon."
Je ne vais pas tergiverser pendant des phrases et des phrases: je n'ai vraiment pas du tout aimé. C'est totalement auto-centré, beaucoup trop auto-centré. Bartelt nous exclut complètement de son récit. Et quand je dis récit... On a l'impression de lire des notes écrite à la "va vite" par un auteur qui n'avait, somme toute, pas grand chose à raconter à la base.
Je suis totalement passée à côté de "Petite éloge de la vie de tous les jours" et ne le conseille vraiment pas.
Extrait: "Ce qui est extraordinaire dans nos pays, c'est qu'ils n'ont rien d'extraordinaire. On les parcourt sans jubilation, comme on vit."
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