Ed. Rivages/Noir 2004. Pages 323.
Résumé: Antonio Casagrande a trente-cinq ans. Comptable dans une biscuiterie de
Milan, il rêve d'évasion et d'écriture. En attendant il remplit tous les
bulletins de participation à des jeux qui lui tombent sous la main. Et
voilà que la chance lui sourit : il gagne un voyage en Amérique à bord
d'un camping-car. Lorsqu’Antonio débarque à Mexico, il fait des
rencontres bizarres, mais c'est aux abords de Tijuana, à la frontière
avec les États-Unis, que les événements se précipitent. Commencent alors
les tribulations d'Antonio parmi les exclus qui hantent l'Avenida
Revolución et cherchent quotidiennement (et vainement le plus souvent) à
franchir ce mur frontière les séparant du pays des gringos. Cesare
Battisti connaît bien Tijuana, ayant lui-même vécu au Mexique. À la fois
noir et onirique, ce roman est en partie le fruit de son expérience. Un
récit à l'humour ravageur sur le désenchantement politique et sur l'art
de la fiction.
La 7 de la page 7: "Mais la honte d'avoir engendré un fils comptable, Antonio en était sûr, continuait de le ronger, même sous la terre."
On ne va pas s’appesantir pendant des heures, je n'ai pas du tout accroché au roman. J'ai eu énormément de mal à m'intéresser aux aventures (oniriques ou pas) d'Antonio. L'écriture est faussement rythmée. On s'ennuie ferme.
Extrait: "La vérité! Pour incroyable qu'elle puisse paraître, c'est le mensonge le moins nocif."
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